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Le professeur Pierre Pariseau-Legault partage son expertise à la réalisation de la série Ma Mère

Le professeur au Département des sciences infirmières de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) | Campus de Saint-Jérôme, Pierre Pariseau-Legault a de nouveau été appelé pour jouer le rôle de conseiller au scénario pour la série Ma Mère, portant sur la santé mentale et diffusée actuellement sur les ondes de TVA.

Les auteurs Michel d’Astous et Anne Boyer avaient sollicité, en 2020, M. Pariseau-Legault à titre d’expert-conseil pour la série Mon fils, touchant la santé mentale et plus spécifiquement la schizophrénie. Pour leur deuxième série, les auteurs ont fait de nouveau appel à lui pour conseiller l’équipe de scénarisation sur les enjeux associés aux troubles bipolaires, aux dépendances et à l’organisation des services et formuler des recommandations afin que le scénario dépeigne un portait fidèle à la réalité de ce que vivent les personnes aux prises avec ces troubles et leurs familles.

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Voici quelques photos d’archives prises alors que l’Université du Québec en Outaouais | Campus de Saint-Jérôme a présenté, devant un public, le visionnement-causerie sur la série Mon fils alors que le professeur de l’UQO Pierre Pariseau-Legault, l’auteur de la série Michel d’Astous et la travailleuse sociale diplômée de l’UQO Andréane Champagne occupaient les rôles de panélistes le 12 mars 2020.


Ma mère raconte le parcours compliqué, mais positif de Chantal (interprétée par Chantal Fontaine), 60 ans, qui vient de sortir de prison après une incarcération de 18 mois. Durant cette période, elle a reçu un diagnostic de trouble bipolaire et se retrouve maintenant à la croisée des chemins. Pour la première fois de sa vie, elle ose croire à un avenir meilleur. Chantal entreprend une thérapie et décide de jouer franc jeu avec sa famille qu’elle a toujours malmenée.

« La série Ma Mère s’inscrit dans la continuité de la précédente, Mon fils. Elle s’intéresse cette fois à l’influence des problèmes de santé mentale sur les liens familiaux. Par son accessibilité au grand public, elle propose de sensibiliser et déstigmatiser les enjeux associés à la santé mentale, plus particulièrement en ce qui concerne le trouble bipolaire. La série met notamment en lumière les dynamiques de culpabilisation et d’incompréhension que peuvent vivre les personnes aux prises avec un problème de santé mentale et leurs proches », exprime le professeur Pariseau-Legault.

Le 12 décembre 2022