L'expertise de la professeure Martine Peters citée dans un dossier sur le plagiat
Martine Peters, professeure au Département des sciences de l’éducation et experte en plagiat, ainsi que la doyenne des études à l’UQO, Francine Rancourt, sont citées dans un reportage spécial publié par Le Devoir du samedi 8 décembre 2018.
Le quotidien montréalais a publié une série de trois reportages dans le cadre d’une enquête sur le plagiat. Les universités québécoises imposent généralement les sanctions les moins sévères, surtout aux auteurs d’une première infraction, et préfèrent sensibiliser les tricheurs avant de les punir, selon une enquête menée par Le Devoir, peut-on lire dans ce reportage.
Dans le texte intitulé Une brèche dans la loi du silence, Martine Peters et ses collègues Julien Bureau, de l’Université Laval et Sébastien Béland, de l’Université de Montréal, réclament une mobilisation des universités pour contrer le plagiat. « Nous appelons à une concertation dans et à travers les établissements universitaires pour arrêter de cacher le problème et, ensemble, mettre en œuvre les solutions les plus prometteuses », écrivent-ils.
Illustration: Le Devoir
Le Devoir mentionne également le projet international contre le plagiat mené par la professeure Peters. Cette dernière et son équipe du Groupe de recherche sur l’intégrité académique (GRIA) ont lancé une vaste recherche avec le concours de 30 universités du Québec, du Canada, des États-Unis et d’Europe.
La doyenne des études, Francine Rancourt, est quant à elle citée dans un article intitulé Clémence pour les tricheurs.
Madame Rancourt y souligne qu’il faut punir les tricheurs, mais aussi éviter de sanctionner des innocents. Il y a beaucoup d’efforts de conscientisation auprès de la population étudiante, souligne-t-elle.
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Enquête plagiat - Le Devoir - 8 décembre 2018
Le 10 décembre 2018