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TDAH : une étudiante au doctorat en sciences de la famille signe un article dans The Conversation

Elisabeth Lefebvre, une étudiante au doctorat en sciences de la famille à l’UQO, signe un reportage publié par le site web The Conversation, un article qui se penche sur le trouble du déficit d’attention avec ou sans hyperactivité (TDAH).
 

L’article intitulé TDAH chez l’enfant : voici comment préserver l’équilibre familial, explique comment ce trouble ne s’arrête pas aux bancs d’école, mais il bouleverse aussi la qualité de la vie familiale.
 

 

Détentrice d’une maîtrise en sciences infirmières de l’UQO, Elisabeth Lefebvre étudie présentement au doctorat en sciences de la famille.

Infirmière clinicienne auprès des enfants et leurs familles depuis près de 20 ans, et doctorante en sciences de la famille à l’Université du Québec en Outaouais (UQO), j’approfondis depuis quelques années mes connaissances sur les difficultés relationnelles vécues par les familles dont un enfant vit avec un TDAH. Étant moi-même mère de deux adolescentes vivant avec un TDAH, j’ai réalisé que de nombreux parents rencontraient les mêmes défis que moi au quotidien, écrit-elle dans son article. 

En plus des défis au niveau scolaire, Elisabeth Lefebvre, cite des études qui démontrent que les parents d’enfants autistes doivent aussi faire face à des attitudes stigmatisantes envers eux.

De plus, ces jugements proviennent principalement de la part des personnes censées soutenir les familles, à savoir leur propre famille élargie, les enseignants et les membres de la communauté. Les parents peuvent alors vivre de la détresse, de la tristesse et un sentiment d’impuissance similaire à un deuil. Ils peuvent ressentir des émotions pénibles telles que la colère, la frustration, la dépression ainsi qu’une altération de leur fonctionnement social et professionnel.

Vous pouvez lire l’article complet sur le site web The Conversation : TDAH chez l’enfant : voici comment préserver l’équilibre familial

 

Le 13 juin 2025