Isabelle Marchand
Isabelle Marchand, Département de travail social, UQO
Co-responsable de la Chaire
Responsable de l'Observatoire sur la Santé des personnes aînées et proches aidantes
Isabelle Marchand est professeure agrégée en travail social à l’Université du Québec en Outaouais, au campus de Saint-Jérôme. Elle enseigne dans le champ de l’intervention collective et du développement des communautés. Elle est directrice scientifique du laboratoire vivant MaillAGE : Vieillir dans les Laurentides. Dans une perspective interdisciplinaire, ses champs d’intérêt se regroupent sous trois axes :
1) les enjeux liés à l'inclusion/exclusion des personnes ainées ;
2) les violences basées sur le genre dans l'avancée en âge;
3) les approches d’innovation territoriale, et d'intervention collective, intersectionnelle et féministe.
Ses projets de recherche actuels se penchent plus spécifiquement sur les enjeux et les solutations au vieillir chez soi et dans sa communauté, dans une perspective d'innovation territoriale, sur les apports des pratiques de participation sociale des personnes aînées au développement des communautés locales, sur l’exclusion socioterritoriale des personnes aînées ainsi qu'aux inégalités sociales et de la santé dans l'avancée en âge. Elle est co-titulaire de la Chaire de recherche sur les environnements favorables à la santé de l'UQO-CISSS des Laurentides.
Au regard de son 2e axe de recherche, elle entame une recherche sur les trajectoires de victimisation des femmes ainées victimes de violence conjugale. Enfin, elle co-dirige avec Manon Bergeron une recherche sur « Violences sexistes et sexuelles dans le cadre des stages universitaires effectués dans les milieux professionnels : une recherche interdisciplinaire traversant six grands domaines d’études ».
Elle est membre du Réseau québécois en études féministes (RéQEF), du Centre de recherche de Montréal sur les inégalités et les discriminations (CRÉMIS), du Centre de recherche sur les innovations sociales (CRISES) ainsi que des équipes de recherche Vieillissement-exclusions sociales et solidarités (VIES) et du Collectif de recherche et d’action sur la sécurité, autonomie et la santé des femmes (SAS-Femmes).