Dotée d’une personnalité entrepreneuriale, et animée par l’ambition et le goût de l’aventure, Francine Rancourt s’est lancée à pied joint dans le développement de l’UQO en 1988.

Elle se plait à dire qu’issue de la « génération Kennedy », elle ne s’est pas demandé ce que l’UQO pouvait faire pour elle, mais ce qu’elle pouvait faire pour l’UQO. Et c’est exactement ce à quoi elle s’est investie pendant toutes ses années.

Professeure en sciences administratives, elle a toujours été très près des étudiants et des étudiantes et a toujours eu à cœur d’aider ceux et celles qui se trouvaient en situation difficile. Elle est reconnue pour avoir investi sans compter temps et énergie à défendre les dossiers de programmes pour un meilleur ajustement en fonction de l’évolution de la société.

Sa capacité de travail phénoménale a été remarquée à de multiples reprises par la communauté universitaire, mais aussi à l’externe, puisqu’elle a toujours prôné la coopération et la collaboration.

Gestionnaire avisée et efficace, elle s’est vu confier de nombreux postes de direction, notamment ceux de directrice du Module (1998-2002) et du Département des sciences administratives (1995-1999) où elle a mené de front de nombreux dossiers.

Son implication considérable au développement de l’UQO se traduit aussi par sa participation à de nombreux comités et instances. Elle a en effet siégé à la sous-commission des études, à la sous-commission de la formation des maitres, à la commission des études, au comité exécutif, au conseil d’administration, au comité de sélection des doctorats honoris causa, au comité de discipline et au comité pour une culture d’excellence en enseignement, pour ne nommer que ceux-là!

Témoignage de son engagement indéfectible, Francine Rancourt a accepté de retarder son départ à la retraite pour occuper un poste exigeant et à haute responsabilité, soit celui de doyenne des études par intérim, de 2017 à 2019. Comme pour le reste, elle s’est acquittée avec brio de cette mission et a contribué à faire cheminer de nombreux programmes d’études.

C’est en 2019 qu’elle a quitté l’UQO pour sa nouvelle carrière d’activités libres (sa retraite!) des plus méritée!