Aller au contenu principal

L’UQO joint sa voix à celles de dix universités québécoises pour protéger la biodiversité

 

L’UQO s’allie à dix universités québécoises et signent l’engagement Nature Positive, devenant ainsi des établissements fondateurs de ce mouvement international qui regroupe 117 établissements d’enseignement supérieur aux quatre coins du monde.

 

La Nature Positive Universities Alliance est une initiative commune du programme des Nations unies pour l’environnement et de l’Université d’Oxford dans le cadre de la décennie des Nations unies pour la restauration des écosystèmes. Les universités signataires de l’engagement Nature Positive reconnaissent le rôle essentiel des établissements d’enseignement et de recherche dans la lutte contre le déclin de la biodiversité et pour la restauration et le rehaussement écologiques. En adhérant au mouvement, les universités québécoises reconnaissent aussi qu’elles ont une responsabilité au regard de la crise de la biodiversité et, surtout, qu’elles font partie des solutions.

 

 

« La signature de l’engagement Nature Positive affirme la volonté de l’UQO d’agir pour protéger la biodiversité et d’être un acteur clé du mouvement de restauration de la nature, déclare la rectrice Murielle Laberge. Nous sommes conscients des enjeux environnementaux pour l’avenir de nos collectivités et de l’importance de concerter nos efforts pour relever les défis auxquels nous sommes actuellement confrontés. Nous sommes fiers de joindre notre voix à celles des 10 autres universités dans le cadre de cette initiative et de nous engager à faire de la biodiversité une priorité institutionnelle qui sera notamment inscrite au cœur de notre prochain plan d’action en développement durable. »

En signant l’engagement Nature Positive, l’UQO, tout comme les autres établissements d’enseignement signataires, devra :

  • réaliser un état des lieux ;
  • se fixer des objectifs atteignables et mesurables ;
  • mettre en place des actions pour atteindre ces objectifs ;
  • user de leur influence pour les réaliser ;
  • rendre compte chaque année des progrès accomplis.

En unissant leurs forces, l’UQO, l’École de technologie supérieure, HEC Montréal, l’Institut national de la recherche scientifique, Polytechnique Montréal, l’Université de Montréal, l’Université de Sherbrooke, l’Université du Québec à Montréal, l’Université du Québec à Trois-Rivières, l’Université Laval et l’Université McGill illustrent la nécessité d’agir de façon concertée devant cet enjeu de société. Que ce soit par la façon dont elles planifient leurs aménagements et leurs opérations, par l’enseignement et la recherche, par leurs partenariats ou encore par la mobilisation et la sensibilisation de leur communauté, elles doivent être des leaders du mouvement de restauration de la nature et faire montre d’exemplarité.

 

Le rôle des universités quant à la biodiversité

Les communautés de recherche et étudiante des universités québécoises signataires participent à la COP 15, qui se déroule présentement à Montréal. L’UQO y est d’ailleurs bien représentée par une délégation d’une quinzaine de personnes professeures, étudiantes et chercheuses qui prennent activement part aux discussions et aux conférences.

 

Consultez le communiqué de presse
de la signature conjointe de l’engagement Nature Positive

 

 

8 décembre 2022