Des professeur.es de l'UQO impliqué.es dans un projet d’accès à la justice
Des professeur.es de l’Université du Québec en Outaouais, ont participé, le 1er mai dernier, à une journée de synthèse autour du projet Accès au droit et à la Justice (ADAJ), une initiative dirigée par le professeur Pierre Noreau de l’Université de Montréal.
Depuis 2016, l’ADAJ forme un important consortium de recherche qui rassemble des centaines de chercheur.es, d'étudiant.es et de partenaires au sein de 27 chantiers. L’objectif : améliorer l'accès au droit et à la justice au Québec.
Plusieurs professeures de l'UQO se sont impliquées dans ces chantiers :
• Christiane Guay du Département de travail social, Chantier 14 : Des institutions innues de la protection de la jeunesse
• Pierre Pariseau Legault du Département des sciences infirmières, Chantier 21 : Santé mentale et justice
• Stéphanie Demers du Département des sciences de l'éducation, Chantier 5 : Éducation juridique en milieu scolaire
• Adeline Audrerie du Département de droit, Chantier 11 : Les praticiens et les modes privés de prévention et règlement des différends
Lors du panel intitulé "Pourquoi faire de la recherche avec d'autres personnes ?", la professeure Adeline Audrerie a notamment souligné l'approche innovante et bienveillante avec laquelle le projet ADAJ a impliqué et valorisé le rôle des étudiant.es-chercheur.es. Cette approche a permis la création d'une communauté de jeunes chercheur.es qui collaborent dans la production des connaissances.
Plus tard dans la journée, lors du panel "Quels changements pour la pratique juridique ?", la professeure Christiane Guay a présenté les résultats d'une recherche-action visant à mettre sur pied un système innu de protection de la jeunesse et qui a conduit a des modifications législatives importantes.
« L'implication des professeures de l'UQO dans le projet ADAJ témoigne de leur engagement envers la recherche et leur contribution pour un meilleur accès au droit et à la justice au Québec. Nous sommes fiers de leur travail et nous sommes reconnaissants de leur contribution à l'effort collectif pour améliorer le système juridique québécois », affirme la professeure Audrerie.