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Travailleuses sociales à bout de souffle: un texte signé par trois professeures de l’UQO

 

Trois professeures du Département de travail social de l’UQO cosignent une lettre d’opinion dans Le Devoir du 15 mars 2018 sur les travailleuses sociales du Québec qui sont à bout de souffle.

 

Mélanie Bourque, Josée Grenier et Nathalie St-Amour soulignent dans leur analyse que les travailleuses sociales interviennent avec des personnes parmi les plus démunies de la société et préviennent, dans plusieurs cas, l’aggravation de problèmes sociaux importants.

« Les services sociaux constituent le parent pauvre du réseau de la santé au Québec et le rôle des travailleuses sociales est peu reconnu. Pourtant, celles-ci interviennent avec des personnes parmi les plus démunies de la société et préviennent, dans plusieurs cas, l’aggravation de problèmes sociaux importants. Leur contribution au mieux-être de nos concitoyens nous apparaît donc essentielle », affirment les trois professeures.

Une équipe de recherche composée des professeures Bourque, Grenier et St-Amour a rencontré 84 travailleuses sociales dans le cadre d’un projet de recherche. « Leurs témoignages rendent compte du temps dont elles manquent pour intervenir avec les personnes parce qu’elles sont trop occupées à compiler des statistiques et à atteindre des cibles de performance », soulignent-elles dans leur lettre au Devoir.

 

Lisez le texte intégral dans Le Devoir

 

Photo: Getty Images/Le Devoir

 

Le 15 mars 2018