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Alex Drolet-Dostaler s’envole vers le Maroc pour la grande finale de MT180

 

Les étoiles sont bien alignées pour Alex Drolet-Dostaler, c’est le moins que l’on puisse dire !

L’étudiante en psychologie clinique à l’UQO a complété les exigeances de son doctorat à la fin du mois d’août, et elle s’apprête maintenant à s’envoler vers le Maroc où elle participera à la grande finale internationale du concours Ma Thèse en 180 secondes (MT180), le jeudi 29 septembre 2016.

« Le voyage au Maroc, c’est un peu la cerise sur le sundae. Ça finit en beauté », affirme l’étudiante, qui a terminé deuxième lors de la finale nationale de MT180, le 11 mai dernier, à l’Université du Québec à Montréal. En finissant parmi le top-3, elle se qualifie pour la finale internationale.

Le doctorat remis, elle affirme partir avec un peu moins de nervosité et avec un poids de moins sur ses épaules.

 

« Je suis un peu stressée pour le concours, mais c’est normal. Nous avons trois minutes pour tout résumer. Il n’y a pas de marge d’erreur. Je m’attends à une expérience enrichissante. »

 

La finale se déroulera à Rabat et une fois l’évènement terminé, Alex Drolet-Dostaler partira pour un voyage d’un mois en Europe. Il s’agira de son premier voyage en sol africain et en Europe. « Ça me fera un cadeau pour marquer la fin de mes études. Je suis super contente. » 

Sa présence à la grande finale représente une source de grande fierté non seulement pour elle, mais aussi pour toute la communauté universitaire de l’UQO.  Pour une deuxième année de suite, une étudiante de l’UQO se qualifie pour la grande finale de MT180.  À l’automne 2015, Camille Daudelin-Peltier, doctorante en psychologie à l’UQO, s’est aussi rendue en finale MT180 qui se déroulait alors à Paris.

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Alex Drolet-Dostaler à la finale nationale de MT180.

 

Peaufiner sa présentation

Initialement, le plan d’Alex Drolet-Dostaler était de ne pas changer sa présentation. Elle l’a toutefois peaufinée au niveau de la communication, de la livraison du message devant le grand public. « Le but est de l’améliorer, mais en même temps, il ne faut pas perdre l’essence de la présentation. Je sais que c’est déjà bon, mais l’idée c’est de la rendre meilleure. »

La thèse présentée par Alex Drolet-Dostaler s’intitule L’urgence en psychiatrie : redonner le pouvoir à l’usager. Ses recherches se penchent sur les méthodes pour anticiper les situations de crise. Elle prône entre autres la mise sur pied d’un ‘plan de crise conjoint’ utilisé en santé mentale, un plan qui permet aux responsables de soins psychiatriques de mieux répondre aux besoins d’une personne en détresse.

Le Québec envoie trois représentantes au Maroc.  En plus d’Alex Drolet-Dostaler, il y aura Carine Monat de l’Université de Montréal, et Maud Gratuze de l’Université Laval.

 

 

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